Puisque cette maison, cette leçon ou saison relative de liberté hipothétique qu’est la vie, si celle-ci est, nous a  forcé à envisager en quoi par élégance de « lituraterrae » cette dernière consisterait, c’est-à-dire, au-delà de Socrate selon son rival ou même falsiaire Platon, en ce qu’on n’en sait  peut-être presque rien, autrement dit pourquoi pas pardieu quelque chose, on se voit plus ou moins obligé d’admettre le fait et le concept de la contradiction en soi non pas seulement comme essentielle à l’existence elle-même mais encore, qui moins n’est point, en tant que sa devancière spatielle. Cette dernière formule quelque peu maniérée est ainsi faite par un acte réfléchi de la volonté. Il s’agit en effet de vous montrer de l’humilité destinée a susciter déjà un certain mépris enverse cette écriture prétentieuse et quelque peu dérisoire qui vous situerait intellectuellement au-dessus de son contenu potentiel et, partant, au-dessous d’elle, car la conjecture consécutive de votre supériorité vous met, si possible, à votre juste place.

Mais rien n’assure que la vie en tant que telle ne soit en tant que telle démontrée, pas plus qu’ autre chose, que son contraire ou, mois important, les fautes dans l’écriture de cette langue française en naturelle déréliction. Pourtant, si, de cette façon, rien en définitive n’affirme rien, c’est au contrarire par esprit de contradiction que tout, et non pas déjà presque tout, assure presque tout, comme vous l’avez déjà quasiment deviné. Vous méritez donc mes plus sincères felicitations ici-même actualisées. Vous êtes quelqu’un d’extraordinaire, suscitant en moi, ce pauvre con, la plus grande admiration. Ceci n’est logiquemente pas difficile, à moins que par un surcroît de logique classique je n’y trouve une nouvelle contradiction de la contradiction, car dans l’esprit de Hegel, s’il en avait eu ce dont notre modeste Popper avec sa douteuse raison doutait, ma connerie serait indiscutable, y compris quand elle reconnaît en vous un individu digne d’admiration, d’honnête et beau. J’avoue mon incompétence pour résodre ce problème, sans por autant renier de mes capacités virtuelles. Ademettez au moins mon amitié.